C’est dans les vieux pots… #7 : Don’t Lose My Number (chanson par Phil Collins)

Ce billet est un peu spécial car je n’ai jamais entendu ce morceau. Je ne connais pas l’air et même si je connais la voix de Phil Collins j’ignore comment il interprète sa chanson. Je me suis contentée des paroles.

En fait pour chaque 1er du mois (pour avril cependant c’est tombé le 2) il y a sur le blog Un Coup de Foudre un billet dans lequel l’auteur expose des articles qu’il a lu sur d’autres blogs au cours du mois précédent. Pour avril il y présentait notamment mon article Billie dans lequel j’explique pourquoi je prendrais dorénavant ce pseudo pour mon blog. Et il racontait que ce nom lui rappelait une chanson de Phil Collins. Il y avait un lien vers les paroles et la traduction de celle-ci.

De mon côté c’est ce jour-là que j’ai rédigé Grumph. Je ne me sentais pas ultra bien et j’étais très tracassée depuis plusieurs jours au sujet d’une situation un peu « sociable » dans le futur. Je me sentais démoralisée et sacrément nulle. J’avais passé la journée à traîner de la savate, à errer sans but entre ma chambre et la cuisine (autrement dit à errer pas bien loin). Et en fin d’après-midi j’ai regardé la chanson.

Si j’ai bien compris dans cette chanson il est question d’un groupe qui part à la recherche d’un type qui s’appelle Billy. Billy s’est planqué et semble ne pas vouloir qu’on le trouve. Il est introuvable. La chanson dit: Billy, on vient te chercher et s’il le faut on te ramènera par la peau du cul (oui alors bon j’extrapole un peu pour ça).

Je ne sais pas sur quelle note s’achève la chanson, si elle sous-entend qu’on a retrouvé Billy ou pas. Les paroles se terminent sur: « tu es nulle part » (réjouissant, n’est-ce pas).

Ce qui est drôle c’est que je traversais quelque chose de similaire ce jour-là (le fait de se planquer dans un coin mais en fait il y a du monde derrière soi).

Ci-dessous les paroles. Ci-après le lien vers les paroles dans leur intégralité et leur traduction. ci-dessous-dessous une vidéo pour écouter la chanson.

« They came at night leaving fear behind

Shadows were on the groun

Nobody knew where to find him

No evidence was found

“I’m never coming back”

They heard him cry

And I believe him

Well he never meant to do anything wrong

It’s gonna get worse if he waits too long

Billy, Billy don’t you lose my numbe

Cos you’re not anywhere

That I can find you

Oh now Billy, Billy don’t you lose my number

Cos you’re not anywhere that I can find you, oh no »

2 commentaires

  1. Avatar de Justin Busch Justin Busch dit :

    Vous savez qui d’autre ne sait pas comment s’achève la chanson ? Phil Collins lui-même. Dans le clip officiel, il y a une séquence d’une minute et demi avant que la chanson ne se démarre, où il parle avec un réalisateur, et ils décident de tourner un clip façon Far West. Après une minute de ça, il change d’avis, et d’autres réalisateurs suivent : quelque chose dans une école de danse, quelque chose comme Mad Max (série de films avec Mel Gibson), et quelque chose sur une plage. À la fin, Phil Collins s’adresse à la caméra et demande « Alors, comment finit-elle ? »

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