L’autre matin, alors qu’on revenait de son tour des besoins et qu’elle me regardait avec passion me déchausser dans l’entrée, j’ai lancé à Manille: « c’est l’heure de manger! ». Comme je m’y attendais, la chienne a bondi de joie. Ce à quoi je n’avais pas pensé en revanche, c’est que le couloir était quand même assez étroit et qu’en faisant sa pirouette elle se prendrait méchamment le mur en pleine poire.