C’est dans les vieux pots #11 : À la faveur de l’automne (chanson par Tété)

J’ai évoqué cette chanson dans mon article les sites de culottes. Parce que je vous aime bien (et surtout parce qu’il fallait meubler) la voici dans la série C’est dans les vieux pots…

Quand j’étais en 4e j’ai vu ce morceau en cours de musique. Il fallait apprendre les paroles et le chanter. Cela fait presque bientôt 15 ans qu’elle est incrustée dans mon crâne. En vrai je l’aime bien.

Le premier « à la faveur de l’automne » était dur à chanter car la voix devient grave au mot « automne ». Il y a une ligne comme ça dans la chanson Bohemian Rapsody par Queen. Ça sonne très bien mais ça ne sort pas naturellement de la gorge (surtout en 4e).

Si je me souviens bien il s’agit d’une chanson très mélancolique sur une histoire d’amour passée.

Mon prof nous avait dit que le super-scopitone était un téléviseur. En faisant une petite recherche Google j’apprends que le Scopitone était plutôt un jukebox qui diffusait des films sonores.

Je vous mets ici le lien vers l’intégralité des paroles. Je vous colle ces dernières en-dessous. Et encore en-dessous je vous mets une vidéo pour écouter la chanson avec ses paroles (j’avais vu le clip mais je l’ai oublié).

« Posté devant la fenêtre je guette

Les âmes esseulées à la faveur de l’automne

Posté devant la fenêtre, je regrette

De n’y avoir songé maintenant que tu abandonnes

À la faveur de l’automne revient cette douce mélancolie

Un, deux, trois, quatre, un peu comme on fredonne

De vieilles mélodies

Rivé devant le téléphone j’attends

Que tu daignes m’appeler, que tu te décides enfin

Toi, tes allures de garçonne rompiez un peu la monotonie

De mes journées, de mes nuits

À la faveur de l’automne revient cette douce mélancolie

Un, deux, trois, quatre, un peu comme on fredonne

De vieilles mélodies

À la faveur de l’automne tu redonnes à ma mélancolie

Ses couleurs de super-scopitone

Oh, oh, oh, à la faveur de l’automne

Oh oh, à la faveur de l’automne, oh

À la faveur de l’automne, oh

Comment ai-je pu seulement être aussi bête?

On m’avait prévenu, voici la vérité nue

Et là, et là, manquerait plus que le mauvais temps s’y mette

Une goutte de pluie et j’aurais vraiment tout perdu

À la faveur de l’automne revient cette douce mélancolie

Un, deux, trois, quatre, un peu comme on fredonne

De vieilles mélodies

À la faveur de l’automne, tu redonnes à ma mélancolie

Ses couleurs de super-scopitone

Oh, oh, oh, à la faveur de l’automne »

Un commentaire

  1. Avatar de Justin Busch Justin Busch dit :

    C’est bien mélancolique, mais je l’aime aussi. En plus, le début va me hanter pendant des jours car ça me rappelle autre chose, et il me tue, mais je ne suis pas sûr de quoi !

    Aimé par 1 personne

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