Ménage printanier

Comme je suis extrêmement bien organisée j’ai commencé à rédiger cet article le 20 mars. Je voulais célébrer l’arrivée du printemps le lendemain (un tour sur Google m’apprend avec horreur que ça commence en fait aujourd’hui jusqu’au 21 juin, mais dans mon coeur ce sera pour toujours et à jamais le 21 que les saisons changent).

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Terry

Je ne me suis pas foulée pour ce pseudo. En fait j’avais dit à Terry que je comptais en faire un « personnage de mon blog » et qu’elle pouvait soit me laisser choisir son surnom, soit avoir pitié de moi et le choisir elle-même. Finalement c’est moi qui ai dû lui en trouver un mais avec quand même des pistes.

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La pluie et le beau temps

Quel est votre type de temps préféré ?

En voilà une question intéressante! Des jours que je guette les incitations Day One dans l’espoir que l’une d’elles retienne mon attention (me permettant ainsi de gratter un article passionnant et de décaler la programmation d’un autre, pour votre gouverne sans cette incitation vous auriez eu droit à un montage vidéo couplant une chanson française à un film de Tarantino). Le temps c’est de l’argent comme on dit.

Alors de manière générale je n’ai pas de temps préféré, je m’accommode de tout. Néanmoins selon le temps qu’il fait je dois prendre quelques précautions (comme tout le monde, en fait).

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Émoji

Au cours d’une récente discussion une personne m’a demandé si ma plage braille arrivait à lire les émojss. C’est un sujet qui inquiète souvent donc c’est pour moi l’occasion inouïe d’écrire un billet intéressant.

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Billie

Gary est vénère (l’article qui commence bien). En fait à chaque fois qu’elle rencontre de nouvelles personnes et qu’elle leur dit qu’elle est SourdAveugle en retour elles lui parlent d’Helen Keller.

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Rire fou

Mon grand-père paternel s’appelait André (oui, celui qui a « choisi » de mourir plutôt que d’être amputé d’une jambe, qui disait des trucs compliqués et qui mangeait des huîtres. Son surnom était Dédé.

J’ai lu récemment un article qui m’a fait beaucoup rire (le lien est en bas). Il s’intitule « Dédé l’élagueur » et dedans l’auteur raconte qu’un élagueur retraité (un peu nul on dirait) vient s’occuper du jardin de sa mère. Et à chaque fois qu’il en parle il le mentionne par « Dédé l’élagueur ».

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