Guide de survie pour plantes d’intérieur | Laura Pigeon | Pratico (2023)

Couverture (ebook) de Guide de survie pour plantes d’intérieur de Laura Pigeon.

Retrouvez ici la fiche BookBuddy de Guide de survie pour plantes d’intérieur.

quatrièmE de couverture

Malgré ta bonne volonté, tes plantes meurent à tout coup ? Que tu sois débutant ou plus expérimenté, cette bible consacrée aux plantes vertes faciles à cultiver devrait te donner un bon coup de pouce « vert » !

Dans cet ouvrage, Laura Pigeon te présente ses plantes préférées – ses green girls ! – sous forme de fiches informatives. Tu trouveras aussi plusieurs conseils et astuces pour que tes plantes d’intérieur verdissent en beauté.

Si tu es amateur de décoration, Laura t’ouvre les portes de sa maison et te donne des explications sur les meilleurs endroits où placer tes plantes, autant pour le bien de ta verdure que pour embellir ton intérieur !

Autodidacte passionnée des plantes, Laura Pigeon partage son amour de la flore sur Instagram. Ses essais et erreurs ont fait d’elle une véritable référence en matière de plantes d’intérieur et de décoration.

mon avis

J’avais pas mal de plantes vertes avant et petit à petit ma collection a diminué. J’aimerais m’y remettre quand j’aurais déménagé. En attendant, je souhaite me focaliser sur celles que j’ai déjà (qui ont TOUTES besoin d’être rempotées, au passage). Il me fallait donc revoir les bases. Et je suis « tombée » sur ce livre.

En voyant le sommaire, j’ai pensé: « Ohlala, il y a beaucoup de choses », mais l’information est en fait synthétique et juste répartie dans « beaucoup » de chapitres. Au final, c’est très clair et compréhensible.

En fait, ce livre reprend vraiment les bases de la culture des plantes vertes: la luminosité, l’arrosage, le terreau, les nuisibles, etc. Il y a même des chapitres où l’autrice fait des recommandations de plantes à disposer selon la pièce.

Je crois que c’était un ouvrage assez visuel avec pas mal de photos mais ça ne m’a pas gênée.

Ha oui, l’une de mes pensée a été pour le tactile. Souvent dans ce livre, Laura Pigeon parle de vérifier visuellement: utiliser des pots transparents pour voir les racines, certains insectes difficiles à voir à l’oeil nu. Je pense (et c’est peut-être un peu orgueilleux) que surveiller ce petit monde au toucher suffirait amplement. Je ne dis pas, je loupe des détails comme la couleur des feuilles (elles prennent une teinte selon si il y a un souci avec l’eau, le soleil ou les nuisibles) mais en touchant les plantes, on peut se rendre compte de beaucoup de choses *Billie, gourou de la secte Les surdicéciplantes*.

Je recommande de se créer un journal de plantes pour y noter ses actions (comme l’arrosage et le rempotage,) et ses observations (comme: « tiens, j’ai remarqué que ma langue de belle-mère a la feuille un peu molle aujourd’hui »)) et de tenir un carnet avec les fiches pratiques de vos plantes. J’ai par exemple découvert que Tchou-tchou le caoutchouc était un ficus elastica et que les ficus sont toxiques pour les animaux. J’aurais aimé le savoir avant, c’est une chance que Stella n’ait pas croqué dedans.

Laura Pigeon est aussi sur Instagram.

Il existe une application mobile qui s’appelle Planta. Elle permet de gérer ses plantes vertes (via des notifications et, il me semble, de la reconnaissance optique). Je l’ai téléchargée mais je n’ai pas acheté la version premium. À y réfléchir, je crois que je préfère m’être renseignée de mon côté avec ma lecture et gérer mes plantes vertes sans applications *Les surdicéciplantes!!!*.

Je crois que ça me chiffonne un peu que les plantes soient considérées comme des objets. J’ai beaucoup aimé le ton déculpabilisant de Laura Pigeon: sur Instagram, elle disait dans un post que ce n’était pas grave de racheter une plante après en avoir tué une de la même espèce; dans son livre, elle dit que si on n’arrive pas à traiter une plante victime de nuisibles, le plus simple est de la jeter car ça peut être pesant moralement. Moi-même, ça m’est arrivé de jeter ou de tuer des plantes (cf Bob). Mais je crois que, maintenant, j’ai envie de les regarder un peu différemment, comme des êtres vivants à part entière *on a perdu Billie, de la mousse a poussé dans son crâne et lui obstrue à présent la cloison nasale*.

citation

« Tu fais tes débuts dans le monde des plantes intérieures ? Avoir le pouce vert, ça n’existe pas. Tout le monde peut devenir bon avec les plantes. Il suffit de vouloir apprendre, d’essayer, de se renseigner et, bien souvent, d’apprendre de ses erreurs. »

3 commentaires

  1. Avatar de Anagrys Anagrys dit :

    Il faut aussi acheter des plantes adaptées à ses capacités : avec ma femme nous ne prenons que des plantes qui n’ont pas besoin d’entretien, celles qu’on peut oublier, qui parfois font un peu la tête mais reprennent vite quand on leur met un peu d’eau. Ça vous convient mieux.
    Pareil pour les animaux : ce qui marche le mieux chez nous, ce sont clairement les chats. Et les poules.

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  2. Avatar de Justin Busch Justin Busch dit :

    Cette histoire de mousse qui pousse dans le crâne est grosso modo l’origine du super-héros Swamp Thing, publié en français sous le nom « La Créature du marais ». Il y avait même un film avec l’acteur franco-américain Louis Jourdan dans le rôle-titre. Mais je trouvais les bandes-dessinées de ce personnage parmi les choses les plus flippantes que j’ai lues, et je ne souhaite ce destin pour personne !

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    1. Avatar de Billie Billie dit :

      Je ne savais pas du tout que c’était son histoire. C’est horrible. Dans la même veine, j’avais vu l’histoire d’un monsieur dont un petit arbre avait poussé dans un de ses poumons!

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